Colleen Hoover

Il n’a jamais su me cacher ses sentiments, car il les ressentait trop fort. Et c’est toujours le cas.

Si j’étais capable d’aimer quelqu’un, murmure-t-il… ce serait toi.

Je ne me rendais pas compte du bien
que ça me ferait d’entendre ça.

~

Il y a une énorme différence entre baiser quelqu’un et lui faire l’amour. Chaque fois que tu es en moi, tu me fais l’amour. Je le vois à ta façon de me regarder. Je te manque quand on n’est pas ensemble. Tu ne fais que penser à moi. Tu n’arrives même pas à attendre deux secondes, le temps d’ouvrir ta porte, avant de venir me voir. Alors ne viens pas me raconter que tu as été clair dès le premier jour, parce que tu es l’enfoiré le plus obscur que je connaisse.

C’est déjà mon héros, alors qu’il n’a que deux jours.

Tu ne pourras plus jamais m’aimer, Rachel.

La différence entre l’atrocité de l’amour et sa beauté, c’est que sa beauté pèse beaucoup moins.

Désolé que ça m’ait pris tant de temps, continue-t-il d’une voix pleine de remords. Mais je ne pourrai jamais assez te remercier de ne pas avoir renoncé à moi. Tu gardais espoir, tu n’as pas baissé les bras. Et c’est la chose la plus importante qu’on ait jamais faite pour moi.

Ça ne te paraîtra peut-être pas beaucoup, pourtant mon passé est désormais entre tes mains. Tout mon passé. Tout ce que tu voudras savoir, je te le dirai. Mais seulement si tu me promets de me consacrer ton avenir.

D’abord, je n’ai pas le droit de te briser le cœur. Ensuite je n’ai pas le droit de briser ton foutu cœur. Enfin, je n’ai pas le droit de briser ton putain de cœur.